Publié au JO du 22/05, il fixe pour l'année 2024 le barème hors taxes des redevances pour le financement du guichet unique DT-DICT www.reseaux-et-canalisations.gouv.fr
Pour consulter l’arrêté cliquez ici.
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Le décret a été publié au Journal Officiel le 25 janvier 2024. Ce texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Il définit les conditions requises pour la production et l’usage d’eaux réutilisées en vue de la préparation et la conservation de toutes denrées et marchandises destinées à l’alimentation humaine, y compris dans l’environnement de production.
Il précise :
Pour les eaux réutilisées :
Pour les eaux usées traitées recyclées :
De plus, ce décret ajoute une description des mentions nécessaires dans le plan de maîtrise sanitaire, la surveillance ainsi que les conditions pour l’utilisation d'eaux recyclées issues des matières premières et d'eaux de processus recyclées [Art. R. 1322-84] et les dispositions en cas de danger sanitaire [Art. R. 1322-85]
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Ce texte publié ce jour a pour objectif de simplifier la procédure d'autorisation pour la réutilisation des eaux usées traitées et définition des conditions d'utilisation des eaux de pluie pour les usages non domestiques.
Ainsi ce décret :
Date d’entrée en vigueur : 31/08/2023
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Le Conseil d'État a récemment précisé dans quelle mesure une commune pouvait déroger à l'obligation d'installation de systèmes d’eaux usées dans l’arrêt du 13 juillet 2023.
Pour rappel :
Or, le tribunal précise que dans l’article R. 2224-7, des dispositions permettent de placer des zones d’assainissement non collectif, y compris dans une agglomération d'assainissement, si l'installation d'un système de collecte des eaux usées ne se justifie pas soit parce qu'il ne présente pas d'intérêt pour l'environnement et la salubrité́ publique, soit parce que son coût serait excessif.
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Est paru au JO du 27 juin 2023, l’Arrêté du 20 juin 2023 relatif à l'analyse des substances per- et polyfluoroalkylées dans les rejets aqueux des installations classées pour la protection de l'environnement relevant du régime de l'autorisation.
Cet arrêté définit :
D’autres substances PFAS pourront également être analysées (à titre illustratif)
Date d’entrée en vigueur : 28 juin 2023
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Cet arrêté vient modifier les prescriptions générales relatives aux ICPE « traitement de surface » soumises :
Objectif : intégrer de nouvelles dispositions permettant de mieux prévenir le risque incendie
Date d’entrée en vigueur : un calendrier de mise en œuvre est précisé dans le texte (dès à présent pour les nouvelles installations et jusqu’au 1er juillet 2024 pour certains points pour les installations existantes)
Il fixe :
- Activité concernée : rubrique 2415 installations de mise en œuvre de produits de préservation du bois et matériaux dérivés.
- Date d’entrée en vigueur : 05/03/2023 (lendemain de sa publication)
- Introduit le régime de l’enregistrement dès lors que la quantité maximale de produits susceptible d'être présente dans les installations est supérieure à 1 000 l.
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Comme son nom l’indique cet arrêté abroge l’arrêté « épandage des boues covid ». Toutes les restrictions sont donc levées.
Dans une déclaration au parisien diffusée le 24 janvier reprise par Localtis, dans lequel ont été annoncés les premiers points du « plan eau », le ministre de la transition écologique Christophe Béchu l’a réaffirmé : « On ne peut garder des communes qui gèrent seules la compétence eau potable. L’objectif d’installer la gestion de l’eau en intercommunalités en 2026 doit être tenu. »
Dans le même temps Intercommunalité de France a dévoilé les résultats de son étude menée sur les transferts de compétence : 56% des intercommunalités exercent les compétences assainissement collectif et 48% la compétences eau potable, représentant respectivement 84% et 81% de la population. Ces intercommunalités ont reconnu de façon unanime l’apport de la gestion intercommunale en termes de capacité d’investissement, de réponse aux situations de crise telle que les épisodes de sécheresse de l’été 2022 et d’articulation avec les autres compétences.
Afin d’anticiper les démarches sur cette transition, l’ASCOMADE propose plusieurs solutions pour accompagner votre collectivité :
- Des présentations en conférence des maires ou en conseil communautaire apportant les informations essentielles réglementaires et techniques afin de réinitialiser le transfert;
- Un accompagnement personnalisé des collectivités en cours d’étude.
Appuyé lors du lancement du plan eau du 29 septembre engagé par le ministère de la Transition écologique et de la cohésion des territoires, le ministre a d’abord réaffirmé dans sa réponse son engagement pour le transfert des compétences Eau et Assainissement. La gestion de ces compétences à l’échelle intercommunale répond aux enjeux actuels liés aux changements climatiques de maitrise des performances des services d’eau et d’assainissement et de sécurisation de l’alimentation en eau
Afin de répondre aux inquiétudes des collectivités concernant l’augmentation des prix, il précise que, en raison de la période d’harmonisation tarifaire et des économies d’échelle, l’impact sur les tarifs d’eau sera atténué. La loi 3DS a apporté plusieurs assouplissements pour limiter les augmentations et par conséquent les impayés et les mécontentements des usagers. Elle a autorisé le financement des investissements importants par le budget général et la fiscalité pendant la période d’harmonisation (L.2224-2 du code général des collectivités territoriales). De plus l’article 30 de la loi 3DS à introduit l’obligation de mettre en place un débat dans l’année précédant le transfert sur la tarification des services publics d’eau et d’assainissement et sur les investissements liés aux compétences transférées.
Enfin la loi engagement et proximité du 27 décembre 2019 a permis de développer des mesures de tarification sociale de l’eau et de faciliter l’accès à l’eau des plus démunis
La note technique du 24 mars 2022 qui encadre les campagnes 2022 RSDE STEU comprend une liste de substances complémentaires dont la recherche (tout ou partie de la liste) sera réalisée à la demande de la collectivité ou des services de l’Etat s’il est estimé que ces substances sont pertinentes compte tenu de la sensibilité du milieu récepteur ou des usages présents en aval du rejet.
Dans un souci d’harmonisation, le ministère a mandaté le laboratoire national Aquaref afin de pouvoir définir les limites de quantifications minimales à respecter pour les substances complémentaires.
Les limites de quantification retenues sont indiquées dans le tableau accessible en cliquant ici.
Ce rapport s’appuie sur les données des services d’eau et d’assainissement pour l’exercice 2020 renseignées sur SISPEA.
Les principaux constats effectués sont que:
Retrouvez la synthèse et le rapport complet sur le site de l’observatoire en cliquant ici.
Cette note abroge celle du 12 août 2016 et précise la liste des micropolluants à prendre en compte pour la campagne RSDE de 2022.
Elle encadre notamment :
Elle conserve les principes et objectifs de la note de 2016
La recherche doit toujours se faire sur les eaux brutes et les eaux traitées.
L’annexe II présente un logigramme explicitant les obligations selon la taille de la STEU entre diagnostic vers l’amont initial et diagnostic complémentaire
Sur le volet substances :
La liste des substances à mesurer elle reste la même que celle de la note de 2016.
La seconde partie de l’annexe III comporte une liste complémentaire composée de substances faisant partie des substances pertinentes à surveiller (elles composeront le futur arrêté surveillance et pourraient être retenues comme polluants spécifiques de l’état écologique pour la prochaine évaluation des masses d’eau).
La recherche de ces substances est facultative.
Cependant le préfet peut imposer la mesure de toute ou partie de ces substances s’il estime qu’elles sont pertinentes compte-tenu de la sensibilité du milieu récepteur ou des usages présents à l’aval du rejet.
L’analyse de ces substances vise à identifier leur présence ou non dans le milieu récepteur, l’évaluation du critère de significativité ne s’appliquant pas à ces substances et elles ne sont pas concernées par la démarche de diagnostic vers l’amont.
Sur le volet diagnostic amont :
Le premier diagnostic vers l’amont réalisé pour une STEU donnée correspond au diagnostic initial.
Un diagnostic complémentaire doit être réalisé si de nouveaux micropolluants sont identifiés en quantité significative.
Ce diagnostic complémentaire :
Ce décret, pris en application de la loi 3DS, impose aux collectivités compétentes le délai dans lequel elles doivent transmettre au propriétaire de l'immeuble ou au syndicat des copropriétaires le document établi à l'issue du contrôle de raccordement au réseau public d'assainissement, dans le cas où ce contrôle est réalisé à leur demande (On peut notamment penser au cas des ventes).
Ce délai, fixé par le règlement de service, ne peut excéder six semaines à compter de la date à laquelle la commune a reçu la demande du propriétaire ou du syndicat des copropriétaires de réaliser le contrôle de raccordement au réseau public d'assainissement.
Ce décret entre en vigueur le lendemain de sa publication soit le 13 avril (demain)
Pour télécharger ce décret cliquer ici
Ce décret encadre la réutilisation des eaux usées issues des systèmes d’assainissement collectif et d’installations d’ANC autre que celles encadrées par ailleurs telles que :
Pour ce qui concerne ce décret :
Si les eaux usées traitées proviennent d’une installation produisant des boues celles-ci doivent respecter l'ensemble des valeurs limites de l'arrêté du 2 février 1998
Il interdit les usages à l'intérieur des :
Les usages interdits sont :
Ce décret encadre par ailleurs la procédure d'autorisation des projets d'utilisation (contenu du dossier de demande, durée maximale prévue pour l'autorisation, contenu de l'arrêté préfectoral), les modalités de suivi et de surveillance à mettre en place ainsi que les délais et la procédure de renouvellement de l’autorisation.
Date d’entrée en vigueur : le lendemain de la publication soit le 12 mars
Pour consulter le texte cliquer ici
La loi relative à la différenciation, la décentralisation, la déconcentration et portant diverses mesures de simplification de l’action publique locale (dite « 3 DS ») a été publiée le 21 février 2022.
Pour ce qui est des compétences Eau et Assainissement, leur transfert obligatoire aux Communautés de Communes (CC) au 1er janvier 2026, au plus tard, est toujours en vigueur.
L’article 30 de la loi introduit de nouvelles spécificités pour l’exercice de ces compétences :
Pour les CC prenant les compétences obligatoires au 1er janvier 2026, un débat doit être organisé l’année précédente avec les communes :
- les conditions tarifaires des services, tenant compte du mode de gestion, des caractéristiques des réseaux et des coûts de production, traitement et distribution,
- les orientations et objectifs de la politique d’investissement sur les infrastructures,
- les modalités de délégation de compétence aux communes qui en feraient la demande.
Pour les CC exerçant l’eau et l’assainissement de manière obligatoire avant 2026 : ce débat peut être organisé 1 fois par an à l’occasion de la présentation du RPQS.
Consultez cette loi en cliquant ici.
Les principales modifications apportées par ce texte sont :
Il vise trois objectifs principaux :
La note technique du 12 août 2016 du ministère de l’environnement propose de procéder à des analyses chimiques dans les réseaux d’assainissement afin d’identifier les sources de micropolluants qui arrivent en station d’épuration.
Rédigé par l’agence de l’eau, en collaboration avec la communauté de communes des Vals du Dauphiné, le comité intersyndical pour l'assainissement du lac du Bourget (CISALB) et la communauté d’agglomération Villefranche Beaujolais Saône, ce document présente les retours d’expériences de ces collectivités qui ont déjà réalisé des campagnes de mesure de micropolluants en amont de leur station d’épuration.
Les premiers enseignements montrent qu’il est difficile de faire le lien entre les substances quantifiées en entrée de station d’épuration et celles qui sont mesurées dans le réseau.
Aussi, il serait peu efficace de planifier une campagne d’analyse sans une bonne connaissance du fonctionnement des réseaux d’assainissement et pluviaux mais également sans une connaissance des entreprises de son territoire (activité, rejet, implantation).
Téléchargez la note "RSDE stations d'épuration : contenu des diagnostics amont - analyses chimiques en réseaux"
Aller voir le CCTP de l'Astee
La loi de simplification et d'amélioration de la qualité du droit n°2011-525 du 17 mai a été publiée au JORF n°0115 du 18 mai 2011. L'article 37 de cette loi simplifie les démarches d'autorisations de déversement pour des établissements ayant des rejets d'eaux usées assimilables à un usage domestique.
...modifiant l'arrêté du 21 juillet 2015 relatif aux systèmes d'assainissement collectif et aux installations d'assainissement non collectif, à l'exception des installations d'assainissement non collectif recevant une charge brute de pollution organique inférieure ou égale à 1,2 kg/j de DBO5 au JO du 23 septembre 2017.
...relatif aux systèmes d'assainissement collectif et aux installations d'assainissement non collectif, à l'exception des installations d'assainissement non collectif recevant une charge brute de pollution organique inférieure ou égles à 1,2kg/j de DBOS.
Cet arrêté remplace l'arrêté du 22 juin 2007 relatif aux prescriptions techniques, aux modalités de surveillance et au contrôle des installations d'assainissement collectif et des installations d'assainissement non collectif de capacité normale supérieure à 1,2 kg/j de DBO5.
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